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23/12/2021

Actualité

Interview de Lucie, consultante Strategy, Governance & Transformation

Lucie COLIN

Consultante Strategy, Governance & Transfomation

Découvrez l’interview de Lucie, ancienne stagiaire et maintenant en CDI en tant que Consultante Strategy, Governance & Transformation chez Almond.

Qui es-tu ?

Je m’appelle Lucie Colin et depuis deux ans, je suis consultante en Strategy, Governance & Transformation chez Almond. Je suis double diplômée de l’UTT, Université de Technologie de Troyes, c’est-à-dire que j’ai un diplôme d’ingénieur en Informatique et Systèmes de l’Information et un master en Sécurité des Systèmes de l’Information.

J’ai intégré Almond dans le cadre de mon stage de fin d’étude, qui devait allier management des systèmes d’information et sécurité.

Je savais que l’entreprise et les missions me plairaient, car je m’étais renseignée auprès d’anciens élèves de mon école qui étaient déjà en poste au sein d’Almond. Mon stage était prévu en automne, j’ai donc postulé en candidate libre et après quelques entretiens, j’ai été accueillie au sein de l’équipe SGT.

Qu'est-ce qui te fait te lever le matin ?

Aider des personnes et des entreprises tout en faisant ce qui me plaît !

Ton intégration s’est-elle bien déroulée ?

Mon intégration dans l’équipe s’est très bien passée. Au démarrage, j’aidais mon maitre de stage sur certaines missions afin de découvrir le métier. En parallèle, je rédigeais une étude sur les migrations dans le cloud avec nos clients, qui était aussi l’objet de mon sujet de stage. Tout cela m’a permis d’avoir une vue globale du métier, d’échanger avec toute mon équipe et de rencontrer beaucoup de nos clients. À la fin du stage, j’étais fin prête pour le CDI.

Malheureusement, celui-ci a commencé une semaine avant le tout premier confinement en mars 2020. Je suis donc rentrée à Bordeaux pour me confiner en famille et j’ai fait un peu de chômage partiel.

Mon ex-tuteur de stage devenu mon team leader aujourd’hui, a été top du début à la fin ! Afin d’occuper cette période d’activité assez calme, nous avons tout de suite enchainé sur des formations et sur la rédaction de l’étude sur la transformation numérique dans les entreprises, qui était aussi la fin de mon sujet de stage.

Finalement, comme je connaissais déjà toute mon équipe et les sujets sur lesquels je devais travailler, le passage de stage à CDI ne s’est pas du tout fait sentir et j’étais même plutôt à l’aise malgré la situation sanitaire.

Quelles ont été tes missions au cours de ton stage ?

SGT est le couteau suisse d’Almond, nous sommes capables d’intervenir sur des sujets très variés. À la base, c’est ce qui m’a attiré dans cette équipe. Pour ma part, je fais surtout de la définition de Roadmap de transformation numérique et de la gestion de projet IT. Je suis également contributrice sur l’offre Data et Finops.

Raconte-nous une journée type

Je n’ai pas de journée type, je suis consultante au forfait c’est-à-dire que mes missions ont un objectif et un nombre de jours définis pour remplir cet objectif. Concrètement, j’ai 2 à 3 missions à faire en parallèle par semaine et j’organise mes journées autour de ces missions. En fonction des jours, il peut m’arriver de réaliser de nombreux ateliers dans la même journée, ou travailler uniquement sur les livrables à préparer pour les clients. J’aime beaucoup ce rythme, cela permet de ne pas s’ennuyer !

Peux-tu nous partager une mission où tu as été fière de toi ?

Récemment, j’ai participé à la création de toute la Roadmap sécurité d’un client en partant de 0. Cela nous a pris presque six mois et nous venons de la terminer.

Nous avons défini l’ensemble du plan d’action pour 2022. C’est valorisant de voir que, de tout le travail de recherche engagé, résulte un plan concret que nous allons en plus piloter l’année prochaine.

Parle-nous de l’ambiance au bureau

L’ambiance au bureau est plutôt bon enfant, nous sommes une équipe avec des gens qui aiment bien partager et faire profiter des sujets aux uns et aux autres.

Plutôt team sportive ou afterwork ?

100% Team Afterwork, on devrait même m’élire chef !

3 comptes Twitter que tu suis ?

Sur Twitter, je follow les comptes de :

  • Fanny Ruwet : une humoriste belge, extrêmement drôle qui fait des chroniques sur France Inter
  • Vie de Carabin : un médecin de jour et de nuit et auteur de BD le reste du temps
  • Roger le chat : roi du monde depuis 2016, chef de tous et inspecteur de télétravail (oui c’est le compte d’un très beau pitichat !).

Ton péché mignon ?

Le saumon !!! Le tartare, les sushis, le saumon fumé surtout pour Noël !

Un conseil pour nos futurs collaborateurs ?

Un seul conseil : ne pas hésiter à poser des questions aux autres membres de l’équipe. Il arrive souvent qu’une petite question déclenche une discussion à laquelle tout le monde participe. Cela permet aussi de profiter de l’expérience des uns et des autres.

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Jour 5 : CTF #1 de l'avent

On complexifie le jeu pour ce jour #5 ! Notre équipe CERT vous propose aujourd’hui un petit challenge CTF à résoudre avant demain matin ! 

Retrouvez le challenge ici !

Jour 4 : Quel type d'attaque peut être qualifié de "triple extorsion" ?

  • Réponse 1 : Une attaque par ransomware
  • Réponse 2 : Une attaque par hameçonnage
  • Réponse 3 : Une attaque par déni de service
  • Réponse 4 : Une attaque par empoisonnement du cache DNS

Laïus explicatif : Le ransomware à triple extorsion est comme son nom l’indique une attaque durant laquelle les cybercriminels menacent de trois façons différentes leur victime.

  1. L’attaquant va demander une rançon à la victime pour qu’il puisse récupérer/déchiffrer ses données
  2. L’attaquant va demander une rançon pour ne pas publier / divulguer les données exfiltrées, il peut aussi demander une rançon pour un délai supplémentaire avant divulgation (retarder le compte à rebours)
  3. L’attaquant va mettre la pression à la victime pour augmenter les chances de paiement de la rançon via des attaques de type DDoS ou des appels téléphoniques, enfin il peut aussi demander des rançons aux victimes collatérales, dont les données auraient fuité indirectement dans l’attaque

Ce type d’attaque permet aux attaquants de maximiser le gain financier pour chaque victime, le ransomware étant déjà l’une des attaques les plus lucratives, il convient d’anticiper ce scénario et de s’en protéger convenablement.

Jour 3 : Parmi ces quatre choix, lequel définit le mieux ce qu’est l’ISO 27001 ?

  • Réponse 1 : Un standard listant un ensemble d’exigences relatives à la sécurité des systèmes informatiques d’une entreprise
  • Réponse 2 : Une norme listant un ensemble de bonnes pratiques permettant d’optimiser la cybersécurité au sein d’une l’entreprise
  • Réponse 3 : Une norme listant un ensemble d’exigences relatives à la sécurité des informations nécessaires à une entreprise
  • Réponse 4 : Un standard listant un ensemble de méthodes pour optimiser les pratiques relatives à la sécurité des informations utilisées par une entreprise

Laïus explicatif : L’ISO 27001 est une norme internationale, dont les entreprises peuvent se prévaloir en se faisant certifier par un organisme indépendant ; elle contient un ensemble d’exigences que chaque entreprise, quels que soient sa taille et son domaine d’activité, doit impérativement appliquer pour obtenir sa certification ; ses exigences constituent donc le référentiel des audits de certification. A ne pas confondre avec la norme ISO 27002 qui est constituée de recommandations, basées sur les bonnes pratiques internationales, permettant d’aider une entreprise à appliquer les exigences de la norme ISO 27001 (donc norme qui ne donne pas lieu à une certification).

Les exigences de la norme ISO 27001 portent sur les informations nécessaires à une entreprise, recueillies et/ou traitées, quel que soit son support, électronique, papier et oral.

Les trois critères de sécurité retenus par la norme ISO 27001 sont la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité des informations. Tout événement, qu’il soit d’origine environnementale ou humaine, intentionnelle ou involontaire, impactant un de ces trois critères, relève de cette norme.

Jour 2 : Qu'est-ce qu'une attaque DDoS?

  • Réponse 1 : Un logiciel espion qui enregistre ce qu’écrit un utilisateur
  • Réponse 2 : Un procédé visant à perturber l’accès à un site ou une application
  • Réponse 3 : Un virus informatique qui chiffre l’OS de votre ordinateur en échange d’une rançon
  • Réponse 4 : Une attaque Informatique visant à détermine votre mot de passe en testant un grand nombre de possibilité

Laïus explicatif : Une attaque DDoS ou « Distributed Denial of Service » est une attaque visant à rendre indisponible un site en le submergeant de requêtes provenant de multiples sources. Dans le cas où toutes les requêtes proviennent de la même source, on parle simplement d’attaque DoS (« Denial of Service »), ou « par déni de service ».

Jour 1 : Qu'est-ce que DORA?

  • Réponse 1 : Une jeune exploratrice bilingue
  • Réponse 2 : Un protocole de communication décrit dans le RFC 9364
  • Réponse 3 : Une organisation internationale de régulation de la cybersécurité
  • Réponse 4 : Un règlement qui s’applique aux entités financières et aux tiers prestataires de services informatiques

Laïus explicatif : DORA ou Digital Operational Resilience Act est un règlement européen publié en 2022 et en vigueur depuis janvier 2023. Le règlement traite de la résilience opérationnelle numérique du secteur financier. Il est applicable aux entités financières comme les banques, assurances, entreprises d’investissement, les établissements de paiement, etc. mais également aux tiers prestataires de services informatiques. Les entreprises concernées ont deux ans pour se mettre en conformité. Ils devront donc l’être en 2025 !

Le pilier relatif à la gestion des risques liés aux prestataires tiers de services TIC apparait comme l’un des plus difficile à mettre en place et à maintenir dans le temps pour les entreprises concernées. En quelques mots, les entreprises devront considérer ces risques comme faisant partie intégrante du risque lié aux technologies de l’information et de la communication (TIC) et notamment le risque de concentration, au niveau de l’entreprise mais également au niveau de l’ensemble du secteur financier européen. En effet, les autorités devront analyser ce risque en analysant les registres tenus et communiqués par les entreprises concernées par DORA et qui recense notamment la liste des tiers prestataires de services TIC avec lesquelles les entités financières conclues des contrats.

Pour plus d’informations, consultez notre avis d’expert sur le sujet : https://almond.eu/cybersecurity-insights/explorons-dora/